BIO DIVA
Un concert de musique improvisée pour voix seule et lutherie numérique. Laurence Moletta avec ses instruments numériques crée de la musique à partir de jeux de voix. Elle produit ainsi des textures vocales qu’elle superpose pour générer des paysages sonores sur lesquels elle ajoute des mélodies improvisées en langage imaginaire. Une atmosphère intime, un moment d’évasion, loin du tumulte du quotidien. Aucun son n’est enregistré à l’avance, toute la musique est créée en directe.
L’intimité de la voix de la chanteuse enveloppe le spectateur, le berce, lui murmure des histoires, que lui seul peut comprendre. Laurence provoque des voix différentes, des personnages féériques, diaboliques, amoureux, tous pourvu d’un langage imaginaire spécifique. Elle entraine le public dans un univers mystérieux, qui surprend le spectateur par son originalité et sa diversité.
Sur scène Laurence chante avec un dispositif de lutherie numérique, sous la forme de deux gants capteurs de mouvements, un instrument de composition en temps réel élaboré autour de gestes instrumentaux et conçu pour moduler la voix et non la remplacer. Ses improvisations vocales sont construites à partir du principe d’accumulation de boucles de textures vocales où s’insèrent des mélodies.
Les gants capteurs de la chanteuse improvisatrice contrôlent entre autre les paramètres midi d'un looper, qui lui permettent de créer des polyphonies vocales avec différents modes de jeux . Elle crée des formes où elle alterne la voix seule et polyphonies complexes en variant le champs des possibles de la voix humaine.
NOZA ORUS
Duo d'improvisation pour voix/ gants capteurs de mouvements et performance vidéo
Laurence Moletta: improvisation vocale gantée augmentée.
Véronique Binst
Performance vidéo, manipulation d'objet, camera
Structure porteuse : Cie CRINOLINE
co-produit par Les Pépinières Européennes Jeunes Artistes, La Villette/Paris
Soutenu par l'Espace Senghor (Be) et le Ministère de la culture Belge : La Fédération Wallonie Bruxelles Arts Numériques.
Joué au:
Festival NUMAcircuit, Musée d'Art Moderne de Tenerife (Es)
Notes d'Argile nocturne, Musée de la Céramique d'Andenne (Be)
Festival Ars Musica, Les Brigittines, Bruxelles
Espace Senghor, Bruxelles
LeLABO Pôle Culturel de Roanne ( Fr)
Deux Résidences à La Villette/Paris à la Halle aux Cuirs et au WIP.
La chanteuse Laurence Moletta accompagnée de ses curieux instruments numériques crée de la musique à partir de bruits de jeux de voix créant ainsi des textures vocales qu’elle superpose pour générer des paysages sonores sur lesquels elle ajoute des mélodies improvisées en langage imaginaire. Aucun son n’est préalablement enregistré.
Un parcours émotionnel à la rencontre de nos perceptions les plus primitives. Laurence Moletta utilise sa voix comme un instrument de musique, c'est à dire qu'elle n'est plus limitée à la parole et au sens des mots. Elle emploie une sorte de langage imaginaire, constitué de phonèmes choisis pour leur musicalité. Une sorte de retour au langage primitif, qui prend sens avec le sensible de la voix.
Sur scène Laurence Moletta utilise un dispositif de lutherie numérique sous la forme de deux gants capteurs de mouvements qui contrôlent à distance son ordinateur et lui permettent de faire des polyphonies vocales et transformer sa voix en temps réel. Un outil numérique qui a été inventé spécialement pour sa pratique vocale improvisée.
Un spectacle sonore mais aussi visuel, durant son improvisation vocale, la chanteuse associe les gestes de contrôle du dispositif de capteurs à une chorégraphie minimaliste qui prolonge sa phonation.
Laurence Moletta entraine le public dans un univers inquiétant, mystérieux, qui évolue à la frontière de différentes pratiques scéniques et qui surprend le spectateur par son originalité.
Laurence collabore avec la vidéaste performeuse Véronique BINST, pour créer le visuel du concert.
Le travail de Véronique Binst consiste à créer par le biais de la superposition d’images captées en direct, et en différé, un univers voyageant sans cesse du microcosme au macrocosme.
Le dispositif permet de filmer une collection d’objets, de textures liquides et solides et de l’associer avec des vidéos préenregistrées de paysages mouvants.
Jouer sur le double, le personnage recréé à petite échelle, et la présence physique de l’improvisatrice vocale.
L’univers ainsi créé, s’inspire de la structure musicale, ses paysages sonores et invente ses propres codes pour se mêler au langage imaginaire tissé par la mélodie.
Le couloir des pas perdus
Spectacle multidisciplinaire soutenu par le numérique. Tantôt tragique, tantôt burlesque. Le Couloir Des Pas Perdus, interprété et chanté par Laurence MOLETTA, réveille en chacun de nous le souvenir poétique ou brutal de notre vie intra-utérine et de notre naissance.
Laurence MOLETTA Direction Artistique
Compositrice Chanteuse Comédienne
Stéphane OERTLI Auteur/Metteur en scène
Stéphane BROC Régie et création vidéo
Benjamin DELLICOUR Régie lumière et son
Structure porteuse : Cie CRINOLINE
Co-produit par Les Pépinières Européennes Jeunes Artistes et La Fabrique de Théâtre (Be)
Soutenu par Ministère de la culture Belge : La Fédération Wallonie Bruxelles Arts Numériques et l'Organisation mondiale de la francophonie.
Joué au:
Théâtre de la Fondation Logos à Gent (Be)
Forum Mondial de la francophonie, Cité Miroir à Liège (Be)
Festival Voix de Femme,Caserne Fonck, Liège
Peruwelz ville des mots, Arrêt 59, (Be), Organisation mondiale de la francophonie
Le petit chapeau rond rouge, Bruxelles
La Maison de l'Arbre, La Fabrique de Pépinières, Montreuil
Les fabriqués, journées pro, La Fabrique de Théâtre (Be)
Résidences de création:
La Fabrique de Théâtre (Be),
La Maison de l'Arbre chez Les Pépinières Européennes Jeunes Artistes à Montreuil,
Au Bains Connectives à Bruxelles
Le souvenir du monde intra-utérin s’évanouit dès notre naissance, un endroit fantasmé où personne ne retournera jamais. Aucune trace de celui-ci, si ce n’est les récits qui nous parviennent de nos proches, qui ont vécu notre venu au monde de l’extérieur. Laurence Moletta a collecté, au grès de ses rencontres, des récits, des anecdotes de naissance. Ce spectacle s’articule autour d’une série de 12 récits portant sur des thématiques liées à la naissance comme : l’enfant bleu ; naissance avec déformation ; incompatibilité sanguine avec la mère; enfant non désiré; entre la vie et la mort; naissance dans un contexte de guerre ; bébé prématuré ; mort-né...
Ces récits à l’état brut, ont été repris par l’Auteur Stéphane Oertli et introduit dans l’univers musical de Laurence Moletta, ils constituent le fil rouge du spectacle. Ils nous confrontent avec l’idée que nous ne sommes pas égaux dès la naissance, les réalités sont tantôt tragiques, tantôt comiques.
On assiste à une sorte de carambolage des codes par une alternance de textes entre burlesque, réalisme documentaire et onirisme.
En solo sur scène : Laurence Moletta chante et interprète les textes des récits de naissances. Elle utilise sur scène un dispositif de lutherie numérique composé de capteurs embarqués sur son corps, sous la forme de deux gants capteurs, qu’elle a créée spécialement pour sa pratique vocale. Un dispositif qui lui permet de contrôler à distance les paramètres sonores afin de transformer sa voix en temps réel et créer des polyphonies vocales. Aucun son n’est préalablement enregistré, Laurence Moletta crée la musique du spectacle à partir de sa voix chantée, parlée, chuchotée...elle crée ainsi tout un microcosme vocal autour des textes du spectacle.
Chaque texte bénéficie d’une mise en musique qui lui est propre et est porteur d'une atmosphère particulière, une galerie de tableaux vidéo soutiennent ces histoires sans les illustrer. Nous avons puisé la matière vidéo dans des films de famille en super 8, que nous avons numérisés et adaptés à la forme. Une création vidéo de Stéphane Broc.
Les Amoureuses
Les Amoureuses / caresse sonore, poésie sonore et voix gantée .... en collaboration avec Blandine Scelles, poétesse et performeuse.
Laurence Moletta (chant augmenté) et Blandine Scelles (poésie)
Laurence Moletta, compose ses polyphonies vocales en direct à l’aide de ses gants numériques. Blandine Scelles improvise sa lecture à partir de son écrit poétique « je ne peux pas ne pas aimer ».
À elles deux, elles célèbrent la grâce de l’amour, vous envoûtent, sèment, dans vos cellules jusque
vos cœurs, les fleurs de la félicité… à saisir pour redistribuer !
Ce concert performatif d’une durée d’environ 40 minutes se veut une pause dans ce monde de dingues.
CANC'ELLE
Elle frotte, elle étire, elle frappe, elle augmente, elle détourne, elle vibre, elle sonne, elle improvise...
Duo d'improvisation
Isabelle Nesme Traitements sonores
Laurence Moletta Corps sonores, voix flûte